La nouvelle édition des Contes en Côtière à Montluel a rassemblé de très nombreux habitantes et habitants venus retrouver la troupe d’amateurs devant la Tour Mandot sans voiture, le lieu a accueilli les aventures d’un génie à l’époque médiévale…
Romain Daubié en campagne électorale, ne manque pas de nous informer de sa présence sur le terrain … On s’étonne alors que Monsieur le Maire, dans sa rétrospective du samedi 11 juin, ne cite pas sa visite à l’occasion des portes ouvertes de la mosquée de Montluel. Aurait-il peur de déplaire à une partie de son électorat ?
Pourtant il était bien présent, tout comme la candidate Lumir Lapray et de nos nombreux élus et acteurs engagés du territoire de la commune. Alors pourquoi l’ignorer dans son bilan de la journée ?
Vous y trouverez l’actualité – A LIRE DE TOUTE URGENCE
Nous ne voulons pas d’un élu qui refuse toute démocratie locale, qui discrimine des associations, qui ne respecte pas les décisions de justice, qui tolère des comportements irrespectueux envers ses équipes, qui ne joue pas collectif avec les territoires voisins, qui abandonne la politique de la ville, qui maltraite la culture et la nature, au détriment de l’intérêt général.
A la une l’alerte sur le harcèlement à la mairie et le départ des agents : management par la peur, dénigrement, décisions contraires à l’intérêt général, tolérance d’actes d’homophobie ; deux nouveaux départs s’ajoutent à la longue liste des agents méritants… épuisés par ce fonctionnement !
L’édito explique que le maire veut faire payer à la communauté de communes des frais exorbitants (100k€ !) alors que la 3CM doit réaliser de nombreux travaux sur les réseaux d’eau de Montluel, longtemps négligés par la mairie :
Le grand dossier sur les nombreux conflits entre le maire de Montluel et la
3CM : abandon du contrat de ville en faveur des quartiers prioritaires,
mauvaise gestion de l’eau avec 60% de l’eau perdue dans la nature
La représentation des élu.e.s BVM en conseils municipaux avec une analyse du budget voté par la majorité : un manque d’ambition des investissements, des projets mal gérés qui sont reportés (aménagement pour les personnes à mobilité réduite ou végétalisation de la cour Daudet), des parcelles communales cédées à des promoteurs immobiliers sans transparence
Les associations maltraitées avec la disparition de locaux
sur le site du projet avenue de la gare, le FC Montluel toujours discriminé
pour l’accès au stade
Le non-respect de l’environnement avec la destruction
programmée du parc boisé de Bellevue et le renvoi d’une source souterraine vers
les eaux usées
La perte d’agrément du centre social par la CAF qui va conduire à ce que la CAF réduise ses financements suite au manque d’activité prolongé décidé par le maire
Montluel classée G « très défavorable » au palmarès des mobilités douces par le baromètre des villes cyclables de la fédération des usagers du cycle, la FUB
La nécessité de sensibiliser la population en cas de problème à la centrale alors que la majorité actuelle n’a fait aucune action de sensibilisation sur la centrale du Bugey
Lors du conseil municipal du 9 février, les élus Bien vivre à Montluel ont interpellé Monsieur le Maire concernant des dysfonctionnements liés au mal-être au travail souffert par de nombreux agents municipaux et à l’incapacité de la direction à accompagner l’évolution de carrière des agents.
En
septembre dernier, lors du vote d’une convention avec le centre de gestion de
la fonction publique territoriale de l’Ain pour la mise à disposition de
personnel, nous avions déjà interrogé la majorité municipale sur les postes
vacants et l’incapacité de la direction à conserver les talents. Le maire nous
avait alors répondu qu’il n’y avait aucun poste vacant … Or ceci s’avère faux
comme le montre le budget de la ville présenté en février où de nombreux postes
budgétés ne sont finalement pas pourvus !
L’enquête au long cours publiée le 2 mars par une journaliste du Progrès a mis en lumière la gravité de la situation grâce à des témoignages directs et courageux dénonçant la souffrance au travail, parfois depuis 2017 : manque de respect, hiérarchie infantilisante, absence de communication avec la direction, interdiction de communiquer avec les élus municipaux ou certains partenaires, management par la peur et intimidations, crainte de perte de prime ou de non-titularisation, décisions contraires à l’intérêt général, tolérance d’actes d’homophobie et favoritisme.
Coïncidence,
le jour-même de la publication de l’article, le centre social de Montluel
organisait une conférence sur le harcèlement scolaire dans les locaux de la
mairie… sans collaboration avec les équipes éducatives ou les organisations de
parents d’élèves.
Un des révélateurs de la crise à la mairie de Montluel est le départ de plus de dix agents municipaux en une seule année (services techniques, centre social, bibliothèque, police municipale, accueil, etc.), ainsi que deux plaintes pour harcèlement moral déposées contre la direction,actuellement instruites par le tribunal de Trévoux. Face à l’inaction de leur hiérarchie, plusieurs agents ont fait appel au syndicat CFDT « Interco de l’Ain » permettant le déroulement d’une enquête interne. Des élus de la majorité ont également essayé d’agir, en vain ! Le Maire affirme qu’il n’y a eu aucun dysfonctionnement. Cependant quelques cas de harcèlement, l’absence d’écoute et de respect, c’est déjà trop !
Alors
que les agents de la ville ont particulièrement montré leur réactivité et
mobilisation lors des deux dernières années de crise sanitaire, les élus de
Bien à vivre apportent leur soutien aux agents municipaux et sont à leur
disposition pour dénoncer ces agissements. Nous avons
ainsi demandé au maire d’agir afin de stopper
l’hémorragie et améliorer le bien-être au travail des agents municipaux en
acceptant d’être à l’écoute de leur malaise, de leur besoin de dialogue et de
relations hiérarchiques responsables et respectueuses de chacun.
Il s’agit aussi que Montluel reste attractive pour des agents expérimentés et des profils qui préparent aux enjeux actuels et futurs. Ces dysfonctionnements ont des conséquences pour les Montluistes avec des travaux de mise en conformité PMR ou de voirie qui sont reportés d’année en année ou le risque d’une perte de l’agrément de la CAF suite au blocage de la plupart des initiatives de l’équipe du centre social pendant la crise sanitaire (la responsable vient à son tour de quitter la mairie).
Que
penser des injonctions de la direction demandant aux agents d’agir contre l’intérêt
général avec notamment le décaissement de terre sur le stade de football, la suppression
des cages et la coupure de l’eau, alors que le stade venait d’être refait par les
espaces verts et les cages nouvellement installées ! Au prétexte de la
chasse aux moustiques, cette méthode visait à ne pas appliquer les décisions du
juge obligeant la mairie à donner accès au FC Montluel dans des conditions non
discriminatoires, conduisant à des dépenses inutiles et des procès à rallonge,
aux frais des Montluistes.
Le
déni de Romain Daubié et l’absence de considération des agents sont à la fois
une faute morale et une erreur pour la bonne gestion de notre commune.
« A chaque fois que nous sommes témoins d’une injustice et que nous n’agissons pas, nous formons notre caractère à s’habituer à la passivité et ainsi, finalement, nous perdons toute capacité à nous défendre nous-mêmes et ceux que nous aimons. »
Alors que la mairie ne sait toujours pas où planter les 500 arbres promis lors de la campagne de réélection du maire (10k€ programmés en 2022), Bien vivre à Montluel a dénoncé la destruction programmée de plus de 80 arbres, arbres qui ne contribueront plus à la fraicheur, à la captation des particules fines de pollution et à la stabilité du terrain en forte pente.
Nos élus ont remis à Monsieur le Maire lors du conseil municipal du 9 février, la pétition qui a été signée par plus de 1500 personnes contre l’extension du programme immobilier Bellevue phase 2.
L’étude sur la gestion des eaux
pluviales déposée dans le dossier de permis de construire du projet montre que la
commune de Montluel a autorisé le promoteur à renvoyer une eau souterraine vers
les eaux usées, ce qui va entraîner un surcoût de traitement pour tous
les habitants de la 3CM !
A
notre connaissance, l’absence d’aménagement permettant aux eaux de source
situées sur le terrain derrière le Château de Bellevue va conduire cette eau
souterraine vers le système unitaire géré par la 3CM, ce qui va entraîner une
perte d’eau alors que cette ressource est précieuse, et entraîner également un
surcoût de traitement indu pour tous les habitants de la 3CM, dont les
Montluistes. Il faut normalement limiter l’apport direct des eaux
pluviales au réseau unitaire, d’autant plus que le détournement des sources
souterraines dans les réseaux d’assainissement est interdit par le règlement
d’assainissement de la 3CM, car elle vient à faire traiter par la station
d’épuration des eaux « propres » et à faire supporter à tous un coût
indu.
La
mairie de Montluel qui a autorité sur
la gestion des eaux pluviales sur Montluel (à l’exception des zones
industrielles sous responsabilité directe de la 3CM), aurait dû imposer au
promoteur de canaliser à ces frais les eaux pluviales jusqu’à la Sereine située
à 300 m du projet … ce que le promoteur aura jugé seul être trop coûteux pour
lui !
Par
ailleurs, les débits de fuite des eaux pluviales enregistrés après travaux sont
annoncés très supérieurs à ceux mesurées avant travaux. Bien que restant dans
la limite fixée par la 3CM, il apparaît que ce projet ne respecte pas le
principe de la maîtrise de l’écoulement des eaux pluviales qui doit
conduire à ce que les zones d’aménagement restituent un débit de ruissellement
égal au débit généré par le terrain naturel (Loi sur l’eau) ; ainsi le
débit de fuite décennal passera de 16,24 l/s à 22,85 l/s après aménagement,
notamment du fait d’aménagement faits à l’économie.
Une fois de plus le
maire de Montluel a validé le choix du promoteur mais au final ce sont les
habitants de la 3CM qui devront payer pour
l’utilisation accrue de la station d’épuration alors que le promoteur aurait dû
être obligé de renvoyer ces eaux vers la Sereine à ses frais ou encore supporter
le risque accru d’inondation dans un contexte de changement climatique du
fait des choix d’aménagements (optimisation des bassins de rétention et absence
de système d’infiltration).
Par ailleurs, le projet interroge sur
la construction d’un parking souterrain sur 4 niveaux dans une butte de 30 mètres
de dénivelé dans un territoire, la Côtière, qui connaît des cas de glissements
de terrain, et qu’un risque est identifié par le Plan de Prévention des Risques
Naturels, d’autant plus en présence d’une source souterraine.
Enfin, l’accès principal aux 68 nouveaux
logements prévus et au parking sera le passage de l’arc, à côté de la crèche et
des pompiers alors que la rue est étroite, à forte déclivité et débouche sur le
faubourg de Lyon qui est déjà dans une situation critique, avec des problèmes
de sécurité routière et situé à proximité de deux établissements recevant des
enfants et des jeunes (pôle petite enfance et institut médico-éducatif).
Voici un florilège
des commentaires déposés par des Montluistes, signataires de la pétition
« La destruction de ce parc est une grave
atteinte à un espace naturel protégé depuis des décennies très précieux pour
les habitants » – Madeleine
« La densification à tout va, sans respect du
patrimoine historique ou végétal n’est pas un service rendu aux concitoyens.
Montluel demeurera attrayante si, et seulement si, elle conserve un
environnement architectural et paysager de qualité. » – Erol
« NON à la destruction irréversible d’un poumon
vert, réserve de biodiversité nécessaire au rafraichissement de la ville et à
la rétention des eaux. NON à la bétonisation d’une colline » – Frédérique
« Projet déraisonnable ! Il faut que le maire
écoute la population. Il fait construire trop de bâtiments partout. A quoi bon
mettre des maisons à insectes sur les rond-points si l’on coupe ces arbres ? »
– Thierry
« Destruction programmée du bien vivre à Montluel
: sacrifier bien-être, convivialité et espace vert en se vendant au plus
offrant. Un gâchis scandaleux qui témoigne d’une absence totale d’ambition pour
la ville, une vision rétrograde d’un âge que l’on croyait révolu. » – Bruno
« Je suis pour que Montluel puisse s’agrandir,
mais pas au détriment d’arbres qui ont pour certains une centaine d’années.
Nous avons la chance d’avoir ce petit poumon vert à l’entrée de notre belle
ville. Ne le détruisez pas, nos enfants pourront en avoir besoin dans les
années qui viennent. » – Marjolaine
Extrait du règlement d’assainissement de la 3CM : « le
détournement de source souterraine dans les réseaux d’assainissement est interdit ».
La problématique des écoles vue par un parent d’élève
2022 : Toute la France est envahie par le désir de construction de projets communs entre élus, acteurs locaux et habitants. Toute ? Non ! Montluel résiste encore et toujours à l’intelligence collective.
Ainsi, il plane un mystère persistant autour de la gestion des écoles : un projet éducatif territorial (PEDT) rédigé par la mairie sans concertation, des délais interminables pour les travaux urgents de réparation des écoles (interphones, fenêtres), des projets immobiliers impactant les deux écoles et une rénovation “promise” d’une cour végétalisée pour l’école Daudet reportée, alors qu’à Dagneux le projet prend forme.
Il se murmure que nous n’avons pas à nous inquiéter, M. le Maire s’occupe de tout !
Mais voilà les parents ne s’inquiètent pas seulement, ils s’intéressent à l’environnement de leurs enfants et s’investissent volontiers pour leur avenir.
Œuvrer ensemble est sans nul doute la clé du mystère !
Quel plaisir que de retrouver la fête dans les rues de Montluel et dans les salles de spectacle.
Bravo au sou des écoles pour avoir organisé le carnaval ce samedi avec un défilé tout en couleurs, char – bateau pirate, batucada endiablée et confettis par centaines ! Le matin même, une troupe médiévale des Contes en Côtière est venue annoncer dans les rues de Montluel le lancement des 18ièmes contes en Côtière du 3 au 11 juin prochains.
Ce samedi a été riche en évènements avec le concert de fin d’année de l’école de musique de la 3CM qui s’est déroulé à Dagneux en présence des élèves, professeurs, familles et amis pour un bel après-midi de musique et de chansons.
Pendant ce temps, le comité histoire et patrimoine de Montluel organisait une chasse au trésor au musée d’art et d’histoire locale à l’occasion de la nuit des musées.
La soirée s’est terminée avec le dernier spectacle de la saison de l’Office municipal de la culture de Montluel (OMCM), Shower Power, un spectacle virtuose et fou à la fois.
Cette année, l’association culturelle a proposé 10 spectacles variés pour nous faire (re)-découvrir des classiques, des créations ou encore des concerts pendant la nuit des musiques. Et les Montluistes ont été au rendez-vous puisque le bilan de la saison montre une hausse des spectateurs de 10% par rapport à la dernière saison, avant la crise sanitaire.
MALHEUREUSEMENT la mauvaise nouvelle est bien confirmée. La salle des Augustins sera fermée à partir de septembre prochain pour une année complète !
Oui une année entière pour réaliser l’aménagement nécessaire à l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Et non la mairie de Montluel ne propose pas d’organiser les travaux hors saison (les mois d’été par exemple) pour permettre d’organiser une partie de la saison culturelle.
Ce sont donc deux associations qui vont être pénalisées : l’OMCM et le cinéma des Augustins (association l’ACA), ainsi que tous les Montluistes qui aiment la culture.
Et non la mairie de Montluel ne leur a proposé aucune solution alternative.
Une fois de plus ce sont bien les associations de Montluel qui sont à la manœuvre pour rendre vivante notre ville, pour faire découvrir le spectacle vivant, des films et documentaires, créer du lien … merci à tous les bénévoles.
Rappel des faits : lors du dernier conseil communautaire, le président de la 3CM, Philippe Guillot-Vignot a annoncé le blocage des travaux sur les réseaux d’eau de Montluel du fait de l’application d’une délibération de décembre dernier de la commune de Montluel visant à instaurer une redevance pour l’occupation du domaine public, fixée à des montants élevés et s’appliquant à tous les types de travaux, y compris ceux d’intérêt général menés par la communauté de communes visant à rénover le réseau d’eau de la commune de Montluel, dont l’entretien n’a pas été assuré par la commune lorsque celle-ci en avait la compétence (le transfert de compétences a eu en 2020). Ces surcoûts estimés à 108 000 euros sont actuellement un blocage à la réalisation des travaux. Plusieurs maires de la 3CM se sont insurgés contre cette délibération qui vise à alourdir les coûts déjà élevés des travaux dont les frais sont répartis entre les communes alors que le principal bénéficiaire est la commune de Montluel.
C’est la goutte de trop !
Les élus Bien vivre à Montluel demandent au Maire de Montluel de réunir rapidement le conseil municipal afin d’amender cette délibération dans les meilleurs délais et permettre la reprise de ces travaux indispensables, alors que 60% de l’eau de Montluel est perdue dans la nature avant même d’arriver dans nos robinets…. ce qui devrait aboutir à des amendes si les travaux ne sont pas effectués rapidement.
Soit en mairie jusqu’au vendredi 6 mai inclus en fournissant un justificatif de moins de 3 mois, à votre nom et mentionnant l’adresse de votre domicile sur la commune, ainsi qu’une preuve de votre identité.
Les justificatifs les plus couramment admis sont les suivants :
Attestation ou la facture (de moins de 3 mois) d’eau, d’électricité, de gaz, de téléphone fixe établie à votre nom par cette entreprise,
Attestation d’assurance habitation (de moins de 3 mois),
Quittance de loyer non manuscrite (de moins de 3 mois),
Bulletin de salaire ou titre de pension (de moins de 3 mois).
Si vous habitez chez quelqu’un qui habite sur la commune et vous n’avez pas de justificatif de domicile, il est également possible de s’inscrire en présentant les 3 documents suivants :
Lettre signée par la personne qui vous héberge, certifiant que vous habitez chez elle et datant de moins de 3 mois,
Document prouvant votre lien avec la commune (bulletin de salaire récent ou tout document indiquant votre nom et l’adresse de la personne vous hébergeant),