Conseil municipal du 24 novembre 2021 (partie 2)

Voici les « questions écrites » envoyées à l’avance que nos élu.e.s ont pu lire lors du conseil municipal.

Question sur le Football Club de Montluel – Jean-Claude Péron

La situation a commencé à se débloquer avec le FC Montluel qui a dorénavant accès au stade municipal. Cependant nous sommes consterné.e.s d’apprendre que de nombreux dysfonctionnements subsistent :

  • l’absence d’éclairage du stade, alors que la convention précédemment signée entre la mairie et le FC Luenaz prévoyait une prise en charge par la commune et des frais symboliques pour le club de 10 euro par an ;
  • l’absence d’accès à la buvette car le local servirait dorénavant à stocker du matériel du centre social ;
  • l’absence d’accès à l’eau (indispensable pour l’hygiène des joueurs).

Ainsi, malgré les trois décisions du tribunal administratif en votre défaveur, ainsi que les rappels à l’ordre du juge et de Madame la Préfète, vous persistez dans votre obstination, conduisant notre commune à supporter des frais juridiques et des pénalités, qui risquent encore de s’aggraver.

Quand allez-vous appliquer les mêmes conditions transparentes et équitables pour l’accès à cette infrastructure sportive ?

Et, dans la même logique, puisque la buvette et le local matériel sont occupés, pourquoi ne pas proposer au FCM deux algécos, un pour la buvette et un pour le matériel en attendant que les deux locaux soient vidés ?

Question sur le faubourg de Lyon et le problème de l’entrée de ville – Amara Boudib

J’ai rencontré une nouvelle habitante qui a entendu de votre part lors d’une rencontre informelle qu’un projet d’aménagement de l’entrée de ville était imminent. Une ligne budgétaire de 85 000 € du budget primitif 2021 devait apparemment être utilisée à ce titre.

En tant qu’élu, je suis signataire d’une lettre vous étant envoyée le 4 octobre vous alertant du mécontentement des habitants, des problèmes de parking et de sortie des résidences, de la saturation routière et du caractère accidentogène de l’entrée de ville.

Cette situation que vous laissez perdurer depuis la construction des nouveaux logements rue du Faubourg de Lyon engage votre responsabilité de premier élu. Cette lettre est restée sans réponse, je vous remercierai donc, Monsieur le Maire, de nous définir ce projet (quand et quel sera-t-il ?) et ses conséquences sur :

  • Le nombre de places de parking disponibles
  • Le flux de trafic dans la zone
  • ainsi que la sécurité routière pour les vélos, les piétons, les automobilistes…

Voici le courrier que nos élu.e.s ont écrit au maire et resté sans réponse à ce jour.

Courrier des élu.e.s BVM au Maire en date du 4 octobre 2021 – sans réponse à la date de la publication

Question sur les modalités de réservation d’une salle communale pour les associations Montluistes – Nathalie Mondy

Je reviens vers vous suite au problème de disponibilité et de réservation d’une salle de réunion pour les différentes associations de Montluel. Sur le site de la mairie, est mentionnée la possibilité de faire une demande de réservation de la salle polyvalente par les associations. Est-ce la seule salle disponible pour les très nombreuses associations de la ville qui ont besoin de se réunir (AG par exemple ?).

Pourquoi n’existe-t-il pas un planning consultable par a minima les présidents des associations pour pouvoir gérer et planifier correctement le fonctionnement de ces structures ?

De plus les délais de réponses de votre part sont inadéquats avec le fonctionnement d’une association composées de bénévoles voulant donner du temps pour Montluel.

Exemple récent : suite à une demande de salle le 20/10/21 par une association pour une réunion la 1ière quinzaine de novembre pour 20 personnes et relance le 2/11, le Maire a écrit le 5/11/21 (soit 16 jours après) pour proposer une salle le 24/11, le 2/12 ou le 8/12… soit après la période souhaitée !

En résumé on a besoin de connaître les salles disponibles selon la taille, les délais pour solliciter une salle, le délai de réponse par la mairie, le point d’entrée et modalité précise (pas utile que le Maire gère directement l’occupation des salles, non ?)

Conseil municipal du 24 novembre (Partie 1)

Sur l’absence des comptes-rendus des conseils municipaux dans leur intégralité sur le site internet de la commune, voici l’intervention de l’élu Bien vivre à Montluel Amara BOUDIB

Point sur la validation du compte-rendu du conseil municipal du 29 septembre

Il m’est très difficile de voter sans faire une remarque sur la publicité de nos échanges.

Monsieur le Maire, l’expression municipale lors des conseils municipaux n’apparait pas sur le site internet de la ville. Sur les 4 comptes-rendus diffusés, seuls nos votes sont mentionnés et aucunement nos débats, remarques et questions diverses. Selon le code général des collectivités territoriales, il vous appartient de faire la synthèse que vous souhaiteriez de nos échanges et du procès-verbal et de produire un compte rendu.

Par exemple, le document publié dénommé « Compte rendu en bref du conseil municipal du 10 juin 2021 », celui-là même qui a été validé par un vote lors de mon premier conseil municipal est expurgé de nos questions diverses et de nos débats démocratiques.

Nous demandons à ce que les comptes-rendus validés en conseil soient disponibles sur le site internet de la ville.

Par l’absence de publicité, vous ajoutez par cet acte un déficit supplémentaire à l’idéal démocratique dont souffre notre ville depuis trop longtemps.

J’en profite pour ajouter, dans la mesure où je suis nouvellement désigné au conseil municipal que les villes voisines, comme Dagneux et Balan par exemple, prennent le temps de prévenir à l’avance les élus et ne profitent pas des délais minimums prévus par le code des collectivités publiques pour prévenir les élus seulement 5 jours avant la tenue des conseils municipaux, de la tenue d’une instance démocratique si importante.

Je ne doute pas et je leur souhaite, pour leur vie de famille et professionnelle que les élus de la majorité soient prévenus bien avant, de manière non officielle.

Montluel est une petite ville qui repose sur un faible nombre de bénévoles associatifs. Pour ma part, j’ai dû déplacer plusieurs réunions et engagements pour préparer de manière rigoureuse et pour assister à ce conseil municipal, je vous le demande amicalement Monsieur le Maire, renoncez à ce genre de méthode, cela vous dessert.

Ce genre de pratiques fait de Montluel la risée du département car elles desservent le débat démocratique, et doivent choquer à la fois élus et fonctionnaires territoriaux intègres et de valeur, et nuisent au final à vos propres ambitions politiques.

Voici par ailleurs les ajouts que nous avons demandé au compte-rendu du conseil municipal du 29 septembre que nous mettons en ligne dans l’attente de sa disponibilité sur le site internet de la ville.

– Page 2 :

Le PV est adopté à la majorité des élus présents à la réunion du 10 juin avec les modifications de forme demandées. Nous demandons l’ajout de « La demande d’ajout par Jean-Claude Péron de l’intervention de Monsieur Guillet est rejetée par Monsieur le Maire ».

– Page 11 :

Amara Boudib objecte que les éléments fournis n’apportent aucun élément chiffré sur le phénomène des locations saisonnières et que le périmètre d’application semble particulièrement étendu.

– Page 13:

Amara Boudib précise que le point à l’ordre du jour n’est pas un nouveau centre social mais avant tout une demande de déclassement permettant la vente de parcelles communales pour la construction d’un programme immobilier de 43 logements. Il est regrettable qu’il n’y ait eu aucune présentation du projet devant la commission urbanisme ni d’étude préalable dans la mesure où il conduit à un accroissement important de la population et de la circulation automobile sur cette zone, il s’accompagne de la disparition du parking de la Poste et conduit à la fermeture du centre social.

Nathalie Mondy souhaite que le conseil municipal soit informé des conséquences pour le fonctionnement du centre social.

Monsieur le Maire informe que le centre social sera hébergé dans les locaux de la mairie et qu’un local sera loué sur la place Carnot pour y accueillir des activités.

Pour rappel, voici l’intervention de Bertrand Guillet qui a été censurée des débats dans le compte-rendu fait par la mairie.

Lancement réussi de la 2ième Gazette Bien vivre à Montluel à l’occasion du 1ier mai !

Regardez dans votre boîte aux lettres, la Gazette arrive ces prochains jours…

Action « un arbre recherche…. » pour végétaliser la ville !

Action « un arbre recherche sa place, son parking, sa cour d’école » à l’occasion du lancement de la Gazette !

Chantons sous la pluie en l’honneur des droits des travailleurs et des travailleuses.

La chorale SANDIA a chanté des chansons en hommage aux travailleuses et aux travailleurs qui défendent leurs droits à l’occasion du 1ier mai. Merci à tous les 1iers et toutes les 1ières de corvée !

https://c.leprogres.fr/social/2021/05/01/insolite-ils-ressuscitent-des-chansons-pour-la-fete-du-travail

Article La Côtière à l’occasion de la sortie de la 2ième Gazette BVM

Merci d’être venu.e.s à la Marche pour une vraie Loi Climat à Montluel

Nous étions nombreu.ses.x cet après-midi pour chanter, crier, partager notre volonté d’agir pour protéger véritablement la Planète, ici et maintenant !

Départ de la Marche pour le Climat – promenade des Tilleuls à Montluel

Notre appel pour une vraie loi Climat !

Nous répondons aujourd’hui à l’appel de plus de six cents organisations pour manifester contre le « manque d’ambition » du projet de loi Climat et résilience. 170 évènements sont prévus dans toute la France. Le projet de loi, dont l’examen commence demain, « manque d’ambition » et « des manœuvres tentent de l’affaiblir ». Nous demandons une « vraie loi Climat » à la hauteur de l’urgence écologique et défendons les mesures des 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat. Ce projet de loi est le dernier texte du quinquennat consacré à l’environnement. Il est très loin de l’ambition requise pour répondre à l’urgence écologique et atteindre les objectifs que la France s’est fixés. Le Haut conseil pour le climat a rendu un avis plus que sévère : le gouvernement, après s’être renié sur de nombreux sujets et avoir été reconnu coupable d’inaction climatique, a mis de côté ou considérablement amoindri les propositions de la Convention citoyenne pour le climat que cette loi était censée reprendre. En l’état, le texte ne permet pas de faire baisser nos émissions de gaz à effet de serre (GES) de 40 % d’ici 2030, et encore moins d’atteindre le nouvel objectif européen (55 % de réduction de GES) alors que la science recommande une réduction de 65 %. En effet, il nous faut atteindre la neutralité carbone en 2050 pour contenir la catastrophe en cours : les eaux montent, les incendies, les vagues de chaleur, les évènement climatiques extrêmes se multiplient. La biodiversité disparait. Nous vivons la sixième grande extinction d’espèces à un rythme jamais vu. Les rendements agricoles diminuent, générant dans le monde des famines et des guerres. Demain, les débats autour du projet de loi Climat et résilience débuteront en séance publique. L’examen en commission spéciale n’a pas permis d’avancer. La plupart des amendements reprenant les propositions de la Convention citoyenne pour le Climat ont été rejetés, suivant l’avis du gouvernement, ou ont été jugés irrecevables. L’ambition écologique de la loi climat doit être revue, notamment s’agissant de la rénovation thermique des bâtiments, de la réglementation de la publicité et de l’utilisation des engrais azotés, du recours aux menus végétariens dans la restauration collective, de la lutte contre l’artificialisation des sols, de la limitation des vols intérieurs en avion ou la responsabilité climat des grandes entreprises.

Troc de graines du SEL Côtière

Deux trocs de graines ont été soutenus par le SEL Bressan (Système d’échange local) et la Grainothèque installée à la MJC. Ces moments ont été animés par des bénévoles le vendredi 26 février, en même temps que la distribution des paniers de l’AMAP de Montluel (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) et le samedi 27 février, en même temps que le Réparathon d’Artilab, rendez-vous mensuel proposé par le Fablab de la Côtière dédié à la réparation des objets.

En amont, des ateliers de recherche et d’ensachage de graines avaient eu lieu afin de proposer des graines potagères locales et bios issus de dons, à toute personne voulant faire un jardin, et de troquer telles graines contre telles autres en fonction des besoins de chacun.e.

Si les visiteurs-ses n’ont pas de graines à apporter, ils-elles peuvent en prendre quand même et l’année suivante en redonner. Le but étant de créer du lien entre toutes les personnes qui jardinent et de partager cette précieuse denrée.

Le but de ces rencontres était également de présenter la BLE (Bourse Locale d’Echanges) issue du SEL Bressan et de lancer l’antenne locale du SEL sur le territoire de la Côtière, de Miribel à Meximieux.

Le SEL permet à ses adhérents d’échanger des biens et des services (coups de main pour du bricolage, des dépannages, prêts de matériel peu utilisé) et des savoir-faire (transmissions d’expériences, de connaissances, de techniques) en dehors du système monétaire. L’unité d’échange du SEL est « le grain de maïs » (une heure de travail = 60 grains).

Nadine, Marie-Noëlle et Marion, à l’initiative de cette nouvelle édition du troc de graines

Un nouveau troc de graines est prévu samedi 20 mars à partir de 14h30 à Sainte-Croix. A cette occasion, des bénévoles de Comm’Une Sereine ont concocté deux jeux de piste avec deux parcours pédestres au départ de la halle de Sainte-Croix. Le premier, d’une durée de 1 heure pour 1 km de marche, vous fera découvrir les particularités urbanistiques et patrimoniales du « cœur de village ». Avec le second, d’une durée de 2 heures pour 5 km de marche, vous découvrirez le plateau Est de la commune, avec ses aspects ruraux et son histoire plus ancienne…

Pour plus d’informations sur les trocs de graines et le SEL Côtière, vous pouvez écrire un mail à l’adresse suivante bienvivreamontluel@gmail.fr

Bien vivre à Montluel lance son premier bulletin

Un grand merci pour vos retours et vos encouragements !

L’association Bien vivre à Montluel a été créée en fin d’année dernière afin de mener à bien un certain nombre de projets avec les habitant.e.s. dans la suite des engagements pris pendant la campagne municipale.

La crise sanitaire limitant les rencontres publiques, nous avons décidé d’aller jusqu’à vous au travers d’une gazette gratuite livrée dans votre boîte aux lettres qui a vocation à revenir sur les sujets locaux d’actualité, rendre compte du mandat des élu.e.s de notre groupe aux conseils municipal et communautaire, mettre en lumière les réflexions et les actions menées par des membres de notre collectif d’habitant.e.s. et créer des liens avec vous.

Bien vivre à Montluel reste ainsi à l’écoute des Montluistes, travaille sur les dossiers municipaux et du territoire de la 3CM, ouvre le champ des possibles car le monde de demain se prépare dès aujourd’hui !

N’hésitez pas à nous écrire pour nous faire part des sujets que vous aimeriez voir abordés dans la prochaine édition qui est déjà en préparation !

bienvivreamontluel@gmail.com

Quelle place pour les habitant.e.s dans les décisions de la commune ?

Tel était le thème du café-débat sur la démocratie organisé lundi 16 décembre dans un bistrot de la place Carnot.

Introduction :
Animer un débat : Débattre avec une ou plusieurs personnes, voilà qui parfois aujourd’hui peut faire un peu peur. Le mot « débat » est devenu un mot synonyme d’affrontement, alors qu’en fait il ne s’agit que d’une discussion où des points de vue différents s‘expriment. Prendre part à un débat, c’est participer à une discussion où chacun.e est prêt.e à changer d’avis. C’est accepter que notre point de vue va peut-être évoluer.
Afin de permettre l’expression de tous les points de vue, des règles relationnelles sont à respecter.

Nous avons ainsi proposé aux vingt-cinq participants de l’atelier 3 temps distincts d’expression :

  • Parler de l’actuel gouvernement du territoire (45 minutes) :
    Objectif : Proposer aux participants d’échanger sur leurs expériences et ressentis de la gouvernance actuelle
    Echange d’informations sur les pratiques actuelles vs  les obligations légales en matière de conseils municipaux, conseils communautaires, enquêtes publiques, réunions d’information…
    Constat : un manque de consultations et de transparence au long du mandat
  • Nos sources d’inspiration (10 minutes) :
    Objectif : Partage d’information pour création d’une culture commune
    Saillans et La Belle Démocratie : “ Le politique, c’est l’habitant, l’élu, son représentant ! ” Partie du refus de voir s’implanter aux abords du village une supérette (projet validé par l’ancien maire), la mobilisation des habitant.e.s a été le support à la composition d’une liste présente aux élections municipales de 2014. Soucieux de voir le plus grand nombre d’habitant.e.s participer aux décisions de la commune, le groupe a organisé son fonctionnement interne en cercles ouverts à tous.tes les habitant.e.s. Chaque cercle s’empare d’une question, d’un projet, décide ensemble des axes prioritaires, des actions. Ces décisions sont ensuite reportées au cercle central “conseil des sages” qui étudie les propositions et valide les décisions. En sciences humaines et sociales, on parle de “sociocratie” pour décrire cette forme de gouvernement. De nombreuses formes d’animation existent pour permettre ces pratiques :
  • la gestion par consentement (GPC) 
  • l’élection sans candidat
  • le jugement majoritaire
    D’autres municipalités et listes “citoyennes” ont été cités :
    Vandoncourt
    Kingersheim
    Orléans Ensemble
    – …
  • Fixer nos objectifs (50 minutes) :
    Objectif : Démonstration d’une forme d’animation pour une prise de décisions en commun
    Attendu : Co-construction concrète d’un programme
    Les participants ont été invités à fonctionner en World café où chaque table était invitée à “imaginer ce que serait un gouvernement plus démocratique du territoire”.
    Chaque table a l’objectif de ne retenir que 3 propositions essentielles, chacune notée sur un post-it et a désigné un rapporteur. Ce dernier est venu présenté les idées à l’ensemble des participants. Elles ont été affichées et regroupées par propositions similaires :
  • Création de conseils de quartier (par territoire) ou conseils citoyens (par thématique) permettant d’impliquer les habitant.e.s dans les réflexions de la municipalité avant toute prise de décision.
  • Mise en place d’un budget participatif dont l’enveloppe est à définir mais qui serait entièrement géré par les habitant.e.s volontaires et/ou tirés au sort
  • Transparence et ouverture des conseils municipaux et commissions municipales : ouverture systématique aux habitant.e.s avec possible prise de parole, recourt à l’expertise de chacun d’entre eux.elles. Diffusion d’informations claires (traduire en langage courant les informations techniques) par tous les moyens possibles (numérique, papier, presse, crieur.crieuse public…). Montée en compétences grâce à des formations des élu.e.s et des habitant.e.s.
  • Recours au référendum municipal à l’initiative des citoyen.ne.s (modalités à définir)
  • Proposer des activités partagées entre habitant.e.s et élu.e.s autour par exemple d’opération de nettoyage volontaire, d’évènements festifs…

Ces propositions co-construites par les participant.e.s forment aujourd’hui le socle démocratique du collectif Bien vivre à Montluel.