Promouvoir la réussite scolaire pour toutes et tous

Un enfant de cadre dispose de 5 fois plus de chances de faire des études supérieures qu’un enfant dont les parents sont sans emploi. Nous pensons que seul un soutien volontariste adapté à chaque enfant en difficulté est nécessaire pour lutter contre le décrochage scolaire.

A Montluel, les classes des écoles primaires ont bénéficié d’un effectif réduit pendant plusieurs années grâce à la présence du quartier de la Maladière et du quartier des Peupliers/Marronniers dans la carte scolaire.

Depuis deux ans, les effectifs par classe remontent, rendant plus complexe la prise en charge des difficultés scolaires. Le poste de coordinateur du Réseau de Réussite Scolaire a été supprimé ainsi que l’accueil des enfants dès l’âge de 2 ans.

Il faudrait donc :

  • Rétablir les relations entre les équipes pédagogiques, le périscolaire, le centre social, la Municipalité et les représentants des parents pour répondre au plus tôt aux situations difficiles,
  • Proposer de l’aide aux devoirs dans le cadre scolaire pendant le temps périscolaire et au plus près des quartiers pendant le temps extra-scolaire afin de lutter contre le décrochage scolaire,
  • Sensibiliser et accompagner les jeunes (filles et garçons) vers les pratiques culturelles et de loisirs du territoire (MJC, centre social, école de musique, cinéma et théâtre des Augustins),
  • Soutenir l’accompagnement des jeunes pour la poursuite de leurs études (aide à l’orientation, accès aux bourses, tutorat),
  • Accompagner l’entrée dans la vie active en lien avec les entreprises et les collectivités du territoire (accès aux stages et à l’emploi, service civique, aide à la mobilité des jeunes).

Pôle petite-enfance : le bilan annuel

La commune est dotée d’une structure dénommée « Pôle Petite-Enfance » (une crèche dans le langage courant), dont la gestion, par délégation de service public, a été confiée à la société People & Baby.

Cette société commerciale a succédé en 2021 à l’association Léo Lagrange, malgré la satisfaction unanime que cette dernière procurait aux usagers, et au-delà.

Nous avions, au moment du vote en conseil municipal, manifesté une opposition soutenue au changement de prestataire, relayé par l’ancien premier adjoint Monsieur Guillet, soutien inconditionnel de Léo Lagrange. Nous avons rendu compte de nos actions dans le numéro 3 de notre gazette (septembre 2021), disponible sur demande (en version papier) et sur : https://bienvivreamontluel.fr/communique-de-presse-pole-petite-enfance

Lors du conseil municipal de septembre 2023, les élu.e.s étaient invité.e.s à « prendre acte de la transmission du rapport annuel du délégataire de la Commande Publique » lequel montre la difficulté à recruter (« turnover » important) et à pérenniser les équipes (moins formées et moins accompagnées) dans un contexte de “privatisation” des services depuis le changement de délégataire. Une discussion a été ouverte par nos élue.s : rappelant plusieurs articles de presse récents sur le sujet, les élu.e.s BVM ont fait part de leurs remarques.

Depuis plusieurs années, le besoin d’augmenter les capacités d’accueil est une politique publique consensuelle, entre toutes les parties prenantes : collectivités locales, Caisse d’Allocations Familiales (CAF), État. Malgré cela, l’offre publique stagne : « Une brèche dans laquelle se sont engouffrées des entreprises privées, dont l’offre permet certes de pallier la pénurie de places, mais dans des conditions d’accueil qui laissent pour le moins à désirer. La situation est d’autant plus critique que les établissements ne parviennent plus depuis quelques années à recruter. D’où des difficultés de fonctionnement et des situations de sous-effectifs qui conduisent parfois à des drames, comme celui survenu à Lyon l’an dernier, lorsqu’un bébé était mort après avoir été intoxiqué par une salariée qui était seule en responsabilité au moment des faits. » (Alternatives Économiques du 5 sept. 2023).

« Saisie par le ministre chargé des Solidarités après ce drame, l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) avait révélé et dénoncé plusieurs cas de maltraitances dans les crèches. Des enfants oubliés sur les toilettes, privés de sieste faute de lits en nombre suffisant ou laissés en pleurs jusqu’à ce qu’ils s’endorment d’épuisement. Des enfants à qui l’on ne donne pas à boire « comme ça, on change moins les couches ; qu’on laisse trop longtemps dans leur couche souillée ; qu’on force à manger jusqu’à vomissement, attachés à des sangles ».

Pour mémoire il est bon de rappeler qu’entre 2010 et 2021, le décret dit « Morano » est venu augmenter la possibilité de l’accueil en surnombre, jusqu’à 120 %, sous réserve que « la moyenne hebdomadaire du taux d’occupation n’excède pas 100 % ». Depuis octobre 2021 et un nouveau décret, ce taux maximal a été revu à 115 %. Dans la même veine, le gouvernement a assoupli, depuis 2021, le taux d’encadrement des « non-marcheurs ». Alors que la règle en vigueur était d’un professionnel pour cinq enfants qui ne marchent pas et huit qui marchent, ce décret laisse la possibilité aux gestionnaires de passer à un taux unique d’un professionnel pour six enfants. Certes, ce taux unique améliore un peu le taux d’encadrement des enfants « marcheurs », mais il dégrade celui des bébés, pour lequel la situation est extrêmement tendue. Au niveau de la formation des personnels, on peut également signaler que « Les étudiants sont beaucoup plus jeunes, et moins avisés. Ce processus de recrutement ne permet pas de s’assurer que les élèves savent dans quoi ils s’embarquent et, au final, ils ne restent pas longtemps ».

« Les bébés et très jeunes enfants méritent mieux que le descriptif ci-avant reproduit. C’est pourquoi nous avons tenu à attirer l’attention pour que de tels faits ne se produisent pas à Montluel.« 

Jean-Claude Péron, élu Bien vivre à Montluel au conseil municipal

Les articles auxquels nous faisons référence sont lisibles sur https://www.alternatives-economiques.fr/creches-une-politique-limpasse/00107984

Signalons que France Inter du 10 septembre 2023 a consacré une émission au sujet : Boris Cyrulnik : « Ce qui se passe actuellement dans les crèches est très grave » https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50-du-week-end/l-invite-de-7h50-du-we-du-dimanche-10-septembre-2023-9530419

S’agissant de la crèche de Montluel, Bien Vivre à Montluel continue de déplorer qu’une société commerciale, dont l’objectif est de réaliser un maximum de bénéfices, ait été substituée à une association à but non lucratif qui gérait le Pôle Petite Enfance à la satisfaction générale.

Pour rappel, le Pôle Petite-Enfance de Montluel inauguré en 2014 (dont le projet éducatif) a été préparé pendant une année (2012-2013) par l’équipe municipale (mandature du maire Jacky Bernard) avec les professionnels de la petite-enfance, les parents (y compris un parent d’enfant en situation de handicap), la CAF et le Conseil Départemental. C’est à partir de ce projet que l’association Léo Lagrange avait été retenue à l’issue d’une procédure d’appel d’offres, étant la seule à cocher tous les critères de ce projet.

Vers la fin de la saga du FCM avec la mairie !

Quatre longues années pour obtenir ce qui aurait dû être accordé dès le départ. Une (trop longue !) suite de péripéties, qui dépassaient souvent l’entendement. Mais,
ENFIN !, le Football Club de Montluel va pouvoir commencer une saison sereinement en septembre prochain sur le terrain de foot de sa commune. Que d’énergie gaspillée ! Que de temps perdu !

Que de bâtons dans les roues accumulés par la municipalité pour empêcher ce club d’exister !

Bien Vivre à Montluel, qui a soutenu le club tout du long, est heureuse de ce dénouement positif et se félicite d’avoir cru en lui. La pugnacité de son dirigeant Djillali BOUSSEBHA a donc permis de débloquer une situation des plus malsaines, ainsi que la médiation engagée par Pascal NIGGEMANN dont nous faisions le portrait précédemment.

Le club, fort de ses 140 adhérent.e.s peut voir l’avenir avec espoir. Et mettre en œuvre un projet qui lui tient à cœur : la constitution d’une équipe féminine, ainsi qu’une équipe loisir qui a déjà commencé et une équipe de vétérans. Le FCM c’est aujourd’hui 17 éducateurs, dont 4 formés lors d’une formation fédérale et 2 arbitres formés.

Le club progresse et a besoin du soutien de la commune.

Clap de fin ? Lors de l’audience du 9 mai 2023 du tribunal administratif de Lyon, le juge a retenu le caractère de détournement de pouvoir contre l’ancien maire (Romain DAUBIE) dans le cadre du différend qui oppose la commune au FCM depuis bientôt 4 ans. Le FCM a eu gain de cause sur le fond de l’affaire et le tribunal administratif de Lyon a condamné la commune et annulé tous les arrêtés qui empêchaient le club de fonctionner normalement !

Voici un petit rappel de nos articles précédents sur ce sujet :

Et si l’on considérait le personnel municipal comme un atout plutôt qu’un charge pour relever les défis d’aujourd’hui et de demain !

Les coûts du personnel de la commune ne sont pas une charge à contenir (dixit le document de présentation du budget par la majorité).

L’absence d’évolution du budget des ressources humaines de la ville malgré la revalorisation récente du point d’indice de la fonction publique n’est pas un signal positif. Sans évolution, cela signifie que des postes restent vacants (plus de chargé de communication depuis longtemps) et qu’on ne remplace pas immédiatement les départs.

Au final c’est le service public municipal et donc les Montluistes qui en pâtissent !

Il faut au contraire valoriser les équipes et former les profils aux enjeux actuels de la transition écologique et énergétique, conserver les compétences en matière de maintenance des bâtiments publics et travaux de voirie, soutenir les actions auprès des populations fragilisées par la crise économique et accompagner l’attractivité culturelle et commerciale de la ville. Pour une ville aux ressources limitées, plombé par 10 ans d’une fiscalité minimaliste et une gestion à bas coût, il faut faire confiance à l’humain et non le brimer et lui garantir un environnement de travail propice à la prise de responsabilités, l’efficacité opérationnelle, la polyvalence.

Car en cette période d’instabilité économique, les agents municipaux sont la richesse nécessaire pour relever les défis suivants :

  • Construire des programmes pluriannuels de rénovation énergétique des bâtiments publics en sollicitant des financements publics et en accompagnant les projets de rénovation des particuliers,
  • Mettre en place une politique de la ville à la suite de la prise de compétence, avec des éducateurs animation-sécurité sur le terrain en coordination avec les associations et acteurs publics,
  • Anticiper les nouveaux besoins de service avec un accueil adapté en crèche en vue de l’arrivée de nouveaux habitants et renforcer l’attractivité de l’aide à domicile face au vieillissement de la population,
  • Accompagner les associations avec une équipe dédiée qui facilite les synergies inter-âges et pluridisciplinaires, mettre à disposition un support logistique pour l’entretien des locaux (ex. de l’école de musique), la création d’un comité municipal des fêtes, la mise en valeur du commerce de proximité et le soutien aux projets des habitants (protection du patrimoine communal, lieu de rencontres pour les jeunes),
  • Soutenir la culture en planifiant sérieusement la rénovation du théâtre des Augustins et permettre une programmation culturelle en coordination avec les associations,
  • Végétaliser les lieux publics et accompagner le partage de la voie publique avec des modes doux permettant des déplacements sécurisés pour les enfants et les adultes,
  • Accompagner des formes de management qui facilitent la prise d’initiatives des agents au service du bien public.

La nouvelle Gazette Bien vivre à Montluel arrive chez vous ! … avec un dossier spécial « Agents municipaux : l’humain d’abord !

Il est urgent d’entendre les nouvelles aspirations à l’égard du travail à Montluel.

De nombreuses affaires ont entaché l’image d’employeur de la commune qui peine à conserver depuis quelques années les ressources nécessaires à son bon fonctionnement. Dans cette Gazette n°8, nous dressons le bilan de la gestion des agents municipaux et vous faisons part de notre réflexion pour une meilleure gestion de la ville au service des Montluistes.

Le bilan humain de la gestion par Romain DAUBIE et ses colistiers est très amer :

  • 20 départs en moins de 3 ans avec la perte d’expertise qui en découle, du fait d’une ambiance de travail dégradée,
  • Plusieurs plaintes déposées pour harcèlement moral et récemment pour actes d’homophobie et de transphobie,
  • Des propos dénigrants de l’encadrement, des batailles de clans, des progressions professionnelles bloquées et un manque de reconnaissance pour celles et ceux qui s’opposent ou prennent des initiatives,
  • Un isolement des employés municipaux du périscolaire dont la direction ne tolère pas les proximités avec les enseignants.

Ces écueils d’une gestion d’un autre âge ont conduit à des situations dramatiques (démissions, burn-out, tentatives de suicide).

« Cette situation ne peut plus durer !  » Voici le message formulé par les élu.e.s Bien vivre à Montluel lors des deux derniers conseils municipaux.

J’attire votre attention sur ce sujet et je vous fais confiance pour que ces phénomènes ne puissent pas se reproduire à Montluel afin qu’on puisse repartir d’un bon pied, et qu’on n’est plus à parler de ces choses-là en conseil municipal. »

Jean-Claude Péron, élu Bien vivre à Montluel au conseil municipal

La tâche de la nouvelle maire, Madame FABIANO, si elle a pris la mesure de l’enjeu, s’avère ardue et nécessitera un vrai courage pour recréer la confiance et le respect indispensable au sein des équipes.

Venez à la « Faites du Futur : passons à l’action ! » samedi 11 mars de 10h à 19h à la salle polyvalente de Montluel

De nombreux acteurs locaux agissent déjà au quotidien à Montluel et autour de nous pour proposer de nouvelles manières de consommer, se déplacer, se chauffer, travailler, plus respectueuses de la planète et de l’humain. Venez les rencontrer !

Participez à la “Faites du Futur : passons à l’action !” qui aura lieu le samedi 11 mars 2023 de 10h à 19h à la salle polyvalente de Montluel, afin de découvrir les solutions concrètes locales et les bénéfices de la transition écologique et sociale.

Les objectifs de cet évènement sont de :

  • Mettre en lumière les individus, associations, artisans, entreprises et collectivités qui “font” la transition écologique et sociale au quotidien,
  • Faire connaître les bonnes pratiques locales,
  • Échanger avec des experts et des personnes engagées pour imaginer le futur de notre ville et du territoire,
  • Participer à des animations et à des ateliers participatifs pour comprendre les enjeux : fresques du climat, réparathon, bourse d’échanges, etc.
  • Faire la fête en famille avec des ateliers dessin et jeux pour les enfants et les adolescents, une cantine participative, la buvette et une bande musicale,
  • … et pleins d’autres surprises !

Inscrivez-vous aux nombreux ateliers en appelant le 06 65 73 26 92 Entrée et participation gratuite pour toutes et tous !

Rejoignez l’équipe de bénévoles pour l’organisation de l’évènement en nous contactant au 06 48 37 10 43.

Découvrez le programme en téléchargeant la mini-gazette spéciale « Faîtes du Futur : passons à l’action !

La démarche ZAN : kézako ?

Nouveau venu dans la (longue) liste de nos sigles français, l’acronyme ZAN va marquer la décennie en cours et les deux décennies suivantes. Consacrée en 2018 par le Plan Biodiversité, puis en 2020 par la Convention citoyenne sur le climat, la démarche Zéro Artificialisation Nette (ZAN) consiste à réduire au maximum l’extension des villes en limitant les constructions sur des espaces naturels ou agricoles et en compensant l’urbanisation par une plus grande place accordée à la nature dans la ville.

Consacré également par la loi Climat et Résilience du 22 août 2021, le principe de « zéro artificialisation nette » vise à adapter les règles d’urbanisme existantes pour lutter plus efficacement contre l’étalement urbain.

L’objectif est ambitieux : il s’agit que les territoires, communes, départements, régions réduisent de 50 % le rythme d’artificialisation et de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers d’ici 2030 par rapport à la consommation mesurée entre 2011 et 2020. Il prévoit pour cela une double échéance : diviser par deux le rythme d’artificialisation des sols à l’horizon 2031 par rapport aux dix années précédant la loi et parvenir à atteindre le ZAN d’ici à 2050, avec un objectif de réduction du rythme de l’artificialisation par tranches de 10 ans.

Mais sa mise en œuvre suscite de nombreuses inquiétudes de la part des collectivités qui redoutent une fragilisation juridique accrue des documents d’urbanisme et un risque d’augmentation des disparités territoriales. Les associations d’élus, relayées par le Sénat, réclament aussi des outils financiers adaptés.

Gouverner c’est anticiper !

C’est pourquoi la formation à la végétalisation des techniciens de la ville est primordiale pour se doter des compétences pour maintenir les sources de fraîcheur (arbres, bosquets) dans la perspective de la loi Zéro Artificialisation Nette (ZAN). Ces formations sont dispensées notamment par l’association Graine Auvergne-Rhône-Alpes qui forme à la débitumisation. Formons nos équipes et donnons-leur les clés pour affronter les enjeux du réchauffement !

Le Football Club de Montluel… accueilli à Dagneux !

Sans solution depuis 2 ans avec la Mairie de Montluel, le Football Club de Montluel (FCM) a demandé à la municipalité voisine un accueil qui est sans commune mesure avec celui de notre ville.

Il n’y a pas photo ! Enfin si malheureusement.

D’un côté à Montluel, une mairie ne joue pas le jeu !

  • Une moitié de terrain avec obligation de jouer à 8 pour les moins de 14 ans.
  • Un terrain tondu par les membres du FCM et sans éclairage.
  • Pas d’accès à la buvette et un seul vestiaire pour 3 équipes les jours de match.
  • Une caution (encaissée !) de 2000 € pour une moitié de terrain.

Et de l’autre à Dagneux, une mairie qui soutient les clubs sportifs dans de bonnes conditions.

  • Un terrain complet qui permet aux équipes seniors et U15 (14-15 ans) de s’entraîner correctement et de rencontrer les équipes adverses dans de bonnes conditions.
  • Tondu par les employés de la commune.
  • Avec accès entièrement gratuit à la buvette et à l’ensemble des vestiaires.

Combien de temps cette comédie va-t-elle encore durer ?

Des solutions et des initiatives locales existent : renforçons la végétation de notre commune !

Face à l’urgence climatique et pour survivre en centre-ville aux périodes de canicule, nous ne pouvons plus rester les bras croisés.

Il nous faut trouver des solutions écologiques pour rafraichir notre ville. Pour cela, il est notamment nécessaire d’enrichir la végétation.

  • Repérez chez vous et autour de vous tous les endroits où pourrait être planté un arbre (ou plusieurs)…
  • Envoyez-nous vos suggestions, nous les publierons sur notre site internet et ferons remonter à la mairie vos propositions.
  • Pour vous aider à végétaliser votre jardin et l’espace public, la Grainothèque organise une collecte et une distribution de petits arbres à planter.

L’idée est de végétaliser le plus possible notre environnement, pour le plaisir des yeux, pour la biodiversité et pour notre bien-être. De nombreuses villes françaises le font déjà. Pourquoi pas nous ? Outre les arbres, vous pouvez semer ou planter des fleurs, des légumes, des plantes aromatiques… Pensez également aux plantes grimpantes qui sont très efficaces pour éviter le stockage de la chaleur dans les murs.

La grainothèque, bien nommée « la Mutinerie Végétale » (contact : 06 21 38 63 29) met à votre disposition des graines de toutes sortes. N’hésitez pas, c’est gratuit !